Rencontre a la fontaine [PV Akito Ayae]

Un Bain Surprise

Je restais longtemps devant mon miroir, ce matin. J'aimais me coiffer, me maquiller, et prendre du temps pour m'occuper de moi même. J'avais toujours été coquette, et cela m'allait bien, d'après ce que les gens disaient. Je chercha beaucoup de coiffure pour mes cheveux. Lisses, Ondulés, ou même Bouclés. L’aspect ondulé l’emportant sur le reste. Après m'être maquiller pendant une demie heure, je me décida a sortir de ma chambre.

Je me promenais, seule, comme toujours. Ou presque. Moi qui suis d'un caractère assez solitaire, j'aimais me retrouver seule, seule avec mes pensées, mes peines, et mes joies. Je n’appréciais pas particulièrement le contact avec les autres surtout ceux qui ne sont pas des vampires, j'ai toujours peur qu'ils veulent ma mort. Je ne sais pas pourquoi, nous sommes devenus une sorte de souffre douleurs. Bref, je me promenais, pour découvrir encore un peu plus du territoire de mon academie. J'ai confiance pourtant en les vampires, car, nous n'avons pas choisis d'être ce que nous sommes. Mais moi, je me sentais bien en vampire. Je ne me voyais absolument pas autrement. J'aimais défendre le pouvoir de ma race et ses atribus.

Je me trouvais alors, après le chemin que je suivais, en face d'une fontaine. J'aimais bien l'eau. Et son bruit lorsqu'elle coule et tombe sur les centaines de gouttes déjà présente dans le bassin. Le bruit des oiseaux qui chantaient autours de moi, et la chaleur des premières brises de printemps qui venait caresser ma peau glacée. Je m'assis donc sur le bord de cette fontaine. C'était assez étonant. Les vampires ont souvent la réputation d'être insensibles... Et je me sentais parfois insensible, c'est vrai. Mais pas aujourd'hui. Je fermais les yeux, et m'imaginais être au bord d'une grande cascade. Je resta qu'elques instants immobile, m’abandonnant totalement a mon imagination, lorsque que quelqu’un, un inconnu -Je le sentais,j'avais toujours eu un très bon odorat. Il ne me trompais jamais, et je lui portais une totale confiance- me poussa.

Je me baladais tranquillement dans l'Académie et son jardin. Je réflechissait. Je ne savais pas trop à quoi mais je réflechissait. A tout et à rien. Je pensai à ma soeur. Apres des années de sang-froid parfait il avait suffit de quelque semaines ici pour qu'elle se batte. Je me demandais comment elle allai et me dit que j'irai surêment la voir plus tard dans la journée. Un léger vent soufflait agitant mes cheveux brun. Je me sentais bien là, seul. Je crois que le coté elfe de ma soeur avait déteint sur moi. C'est pour ça que je me sentais bien avec les animaux, même si je ne pouvait pas leur parler comme Ayanna. Je l'accompagnai souvent quand elle allai en foret, on se retrouvait tous les deux. C'est pour ça qu'on s'entendait si bien. Perdu dans mes pensée je ne savais ou j'allai et heurta soudain quelque chose. Sortant des réflexion je releva la tête et vit une belle jeune femme dans la Fontaine. Je l'avais fait tomber dedans. Je la détailla du regard en l'aidant à sortir. Elle était très belle. Ses long cheveux avait la couleur du blé mur et ses yeux rouge foncé, surêment une Vampire. Quand elle se redressa je me rendis compte qu'elle était plutôt grande.

Excuse toi au moins!

Je tombais dans l'eau. Parce qu'il m’avait poussé. Dans la fontaine. Manquais plus que sa! J'avais eu vraiment peur! Non mais les gens ne regardaient jamais où ils marchaient! Plus jamais je ne me mettrais les yeux fermés sur un fontaine! Bon... Maintenant, j'étais mouillé. Raaaaah qu'elle galère! Le garçon m'aida quand même a me relever. Je le regardais. Il était brun, avec la peau mate. Ses yeux avaient la couleur d'un émeraude qui brillait sous le soleil. Il était même plutôt beau. Mais... Quelque chose m’empêchait de l’apprécier. Il venait de me pousser dans la fontaine! Maintenant, j'étais mouillé. Et en plus j'avais froid!

-Surtout t'éxuse pas hein! Sa t'arrive de faire attention?! J'ai froid maintenant!

Je voulais l’apprécier. J'en avait même très envie. Mais maintenant que la colère s'était emparée de mon esprit, je ne me contrôlais plus. Pourtant... Curieusement, je ne pouvais pas non plus le détester. J’essayais de contrôler ma colère. En prenant une grande inspiration, je tentais de faire sortir de moi cette colère que je parvenais pas a métriser. Mais en vain. Elle finirait bien par partir de toute façon! Et puis... Il ne m'avait toujours pas répondu! Il faisait la sieste ou quoi! Je laissa alors cette colère prendre le contrôle, et cela fut plus doux que ce que j'attendais:

-Tu dors ou quoi?!

-Tu dors ou quoi?!
Elle s'était redressé et me fixait maintenant avec colere, ses yeux rouge devenu incandescent, comme un feu de foret. Elle m'avait déjà crié deçu deux fois mais sa vois s'était radoucie. Je ne savais pas pourquoi, elle aurait eu le droit de me detester vu que je venais de la tremper en la jetant dans la Fontaine. Pourtant ses yeux qui me fixer semblait m'observer plus qu'autre chose. Et moi je la regardais sans rien faire. La détaillant toujour du regard. D'apres ce qu'elle avait dit elle avait froid. C'est vrai que la chair de poule c'était le vé sur ses bras et qu'elle frémissait.
-Hein quoi ? Oh, euh je suis réveillé.

De la colère a l'amitié....

-Hein quoi ? Oh, euh je suis réveillé.

Il était réveiller. Génial! Encore heureux tien! Enfin bon... Sa ne sert a rien de s'énerver, car le garçon en face de moi avait l'air plutôt pacifiste. Ou alors très endormis. Je préférais me dire qu'il était pacifiste... Enfin! Il était réveillé, c'est déjà sa!

Il n'avait donc rien entendu de ce que je lui avait dit?! Je voulais reprendre le contrôle de moi même. Curieusement, je repris ma sérénité tout en l’observant. Ce qui était vraiment bizarre, car il m'avait sortit d'un état plutôt agréable, en me poussant dans l'eau. Maintenant, j'étais trempé, de la tête aux pied. Ma chair de poule augmentais lorsque le vent vint sur mes affaires mouillés.

Au fait... Il ne s'était toujours pas excuser! Il n’allait pas passer a côté! Il ne va pas partir sans s’excuser quand même! Plus je le regardais, plus j'étais sure qu'il n'allait pas partir. Il n'avait pas latitude de quelqu'un qui était sur le point de s'en aller. Je me détendis d'un coup. Mon regard ne reflétait plus de la colère, mais plutôt de l'amitié... D'une voix plus douce, je repris donc ce que je lui disais:

-Tu compte t'éxcuser? Ou tu vas te rendormir?

-Tu compte t'éxcuser? Ou tu vas te rendormir?
Ses paroles me sortirent de ma contemplation. Enfin presque. Je continuait d'observer ses long cheveux blond qui bougeait animait par les vent. J'observais aussi ses beaux yeux rouge qui eefletait tout ses sentiments, il y as une minutes ils brillaient de colere mais scintillait maintenant d'amitié. Je lui lacha la main, géné.
-Oh euh oui, desole. Excuse-moi de t'avoir poussé dans la fontaines, j'était perdu dans mes pensées. Et, euh, c'est quoi ton nom au fait?
Poussai par je ne sais quoi je leva ma main et remit en place une meche de cheveux, la replaçant delicatement derriere son oreille. Ma méfiance s'était envolé et mes yeux vert scintillait au soleil.

Un sentiment étrange

Ce que j'avais dit l'avait sortit de l'état presque absent dans lequel il était. Il m'observait, mais plus comme tout a l'heure, et cela me rassura, j'avais l’impression d'être un extraterrestre descendu sur terre. Enfin... Extraterrestre ou vampire, peut importe. Les deux sont considérés comme étrange de toutes façons, alors.... Bref, il continuait de regarder mes cheveux blonds et mes yeux rouges qui venait, en un rien de temps, de changer leur éclat... J'avais été tellement prise par cette histoire, que je n'avais même pas remarquer que le garçon me tenait la main. Il me la lâcha d'ailleurs. Alors, une chose bizarre se produisit. La chaleur de sa main manquait à la mienne. Je voulais lui demander son prénom, car je commençais a l'apprécier... Mais il me devança, et dit:

-Oh euh oui, desole. Excuse-moi de t'avoir poussé dans la fontaines, j'était perdu dans mes pensées. Et, euh, c'est quoi ton nom au fait?

Je m’apprêtais a lui répondre, lorsqu'il leva la main, pour remettre un mèche de mes cheveux ondulés derrière mon oreille... Ce geste imprévu me fit rougir. Cela m'étonnais, d’ailler. Ce n'était pas dons mon habitude de rougir pourtant...

-Je m'appelle Akiko... Akiko Namikaze... Et toi?

Je regardais ses yeux, en attendant une réponse de sa pare. Ils étaient d'un vert impréssionant. D'un vert émeraude qui scintillait sous l'effet des rayons du soleil...

-Je m'appelle Akiko... Akiko Namikaze... Et toi?
Elle avait rougie. Un beau rouge était monté a ses joues, la rendant plus mignonne encore si c'était possible... Sa vois était douce, si douce qu'elle me bouleversa jusqu'au plus profond de moi meme. En quelque minute elle s'éit taillé un passage dans mon coeur. Dans cette citadelle de souffrance ou je n'admettait parsonne. Rongé par la culpabilité de n'avoir pu sauver mes parents j'été persuadé que je ferai du mal aux gens qui m'aimait et que j'aimait. C'est bien pour ça que j'était solitaire. Pourtant Akiko avait réussi à briser ma coquille
- Akito. Akito Ayae. Ca va?

Ridicule...

- Akito. Akito Ayae. Ca va?

Le garçon s'appelait donc Akito. Son regard changea aussi. Je ne pouvais dire ce qu'il reflétait, mais j'avais vue une petite différence. Je n'avais jamais aimé regarder les gens dans les yeux, sans rien dire. Je trouvais sa intimidant, et je me trouvais maintenant ridicule. Je détournais donc le regard, et me trouvais encore plus ridicule. Je n'avais jamais été romantique, et je trouvais les gens romantiques bizarres et sans intérêt. Je réalisa qu'a force de le regarder, j'avais oublier de répondre. Sa question me revint a l'ésprit, et je répondis donc:

-Ouai Ouai, sa va... J'ai moins froid. Et toi? Sa va?

Je ne savais pas si la question qu'il m'avait posée était par rapport a ma chute dans la fontaine ou si c'était juste une question de politesse. Je ne me comprenais plus. C'était sur, j'étais perdue. Je faisais des choses qui ne me ressemblaient aucunement, et j'avais peur de dire une bêtise.J'avais eu beaucoup d'amis, durant toute ma vie. Même beaucoup de petits copains, mais jamais je n'avais eu a faire attention a mes actes. J'en conclut que cette fois, c'était différent. Je ne m'étais jamais non plus aussi ridicule... Je ne savais plus quoi faire, ni même quoi dire. Je continuais donc, a faire ce que je jugeais le mieux de faire, continuer de détourner le regard.

[Complètement nulle ma rep --' désolé]

On se fixait les yeux dans les yeux et ça semblait la géné. Elle était un peu timide, ou lors c'était juste la situation...
Toujour est-il que au bout de quelque seconde elle tourna la tete, esquivant mes yeux verts et mon regard. Au bout de quelque secode le voile de ses reflexion ou de je ne sais pas trop quoi sembla se lever et elle se rendit compte qu'elle ne m'avait pas répondu.
-Ouai Ouai, sa va... J'ai moins froid. Et toi? Sa va?
Elle avait eu l'air un peu perdue en disant cela et je la comprenais.
-Oui, enfin je crois. Je ne me sens pas... dans mon état... normal.
C'était vrai, je n'était vraiment pas comme d'habitude. Mon esprit était... éteint.

Je me sens pas bien...

-Oui, enfin je crois. Je ne me sens pas... dans mon état... normal.

Étrange... Je n'avais pas vraiment entendue les paroles d'Akito. Enfin, si, je les avait entendus, mais elles n'étaient pas vraiment arrivés jusqu’à mon cerveaux. Tout a l'heure, lorsque je suis tombée dans l'eau, et j'avais eu très froid, a cause de mes affaires mouillés, et du vent qui refroidissait ma peau. Mais maintenant, j'avais très chaud, a force d'être gênée comme sa. Ma tête commençais a tournée... Je devais être affaiblit, sa faisais longtemps que je n'avais pas... Enfin... Que je ne m'étais pas nourrie. Cela devait faire une semaine... Mais je nepouvais pas me résoudre a tuer encore plus de gens. J'avais déjà fais assez de mal comme sa... Mais il fallait que je me nourrisse quand même... Mais je trouverais un autre moyen. J'en ai marre d'être considéré comme un monstre...

Je voyais tout flou. Je sentais que le terre tournais sous mes pieds, et, cherchant un point pour m'accrocher, agrippais avec une force que je ne contrôlais pas le bras d'Akito. Je n'ai pas vue si je lui faisais mal, car bientôt,tout devint noir. Mes jambes ne me portaient plus, et je me sentis tomber d'un coup, devant moi. J'entendais quelqu'un parler, mais ne comprenais pas ce qu'il disait...

C'étais comme si je dormais... Enfin.. Non, je me sentais mal, et je pouvais entendre l'agitation autour de la fontaine. Je ne voyais plus rien... Mes yeux s'étaient fermés, et ma peau déjà très claire s'était encore éclaircit...

Elle semblait...Fatiguée elle aussi. Je ne savais pas pourquoi mais d'un coup elle commença a tanguer, puis s'agrippat mon bras. Elle s'y accrochait comme si c'était la seule chose qui la séparait encore de la mort.
Puis Soudain elle tomba, elle s'écroula comme une poupée, comme si on lui avait fauché ses jolie jambes. Je m'agenouillai a ses cotés
-Akiko? Akiko repond moi s'il te plait. Ouvre les yeux, fais quelque chose.
Non elle ne pouvait pas partir, pas maintenant alors que j'avais enfin réussi a trouver le remede a mes blessure: Elle!
J'était desespéré, je ne savais quoi faire, j'était perdu et plus que tout totalement désamparer. Puis une vois venu du fin fond de mon esprit me souffla quoi faire. Je reconnu cette vois comme étant celle de mon ange-gardien, Arya. Aidé d'Arya, je vérifiai si elle respirait bien. Ensuite sans en avoir conscience je la mit sur le coté pour qu'elle continue a respirer bien.
Au bout de quelque minutes elle ouvrit lentementun oeil puis l'autre et je crut que c'était moi qui allai m'évanouir de bonheur. Je me penchai doucement sur elle:
-Akiko, ça va?

.

-Akiko? Akiko repond moi s'il te plait. Ouvre les yeux, fais quelque chose.

Je l'entendais, tentais de lui répondre, mais jamais les mots que je voulais sortir ne réussissaient jamais a sortir... Je sentais qu'il était triste. Et cela, bizarrement, me rendis heureuse. Non pas parce qu'il était triste, mais parce qu'il était triste, parce qu'il avait peur pour moi. Personne n'avait jamais eu de tristesse pour moi. Je voulais me réveiller, mais je me sentais encore trop faible... J'avais peur de partir, mais, en même temps, j'avais toujours su que je ne mourrais pas comme sa. Et puis... J'étais immortel, ne l'oublions pas! Je décida, pour ne pas gâcher mes dernière forces, de me relâcher complètement, et de ne plus lutter. J'eu raison, et cette technique marchait.

Quelques minutes plus tard, Je me réveilla. J'avais encore quelques douleurs a la tête, mais ma terrible fatigue était passée. Encore faible, j'ouvrais doucement les yeux. La terrible lumière du soleil elle aussi me rendait plus faible. Je m'aperçus que j'étais sur le côté... Je n'avais pas sentit que l'on m'avait bouger... Mais je ne me souviens pas non plus la position dans laquelle j'étais tombée.

-Akiko, ça va?

-Ou...Oui... Je crois que je...

Je ne pouvais pas lui dire que j'avais besoin de sang. Que c'était pour sa que j'étais tomber, et que je devais tuer des gens pour vivre... Je ne voulais pas avoir l'air d'un monstre encore un fois. Je ne suis pas gentille, et les insultes ne me touchent pas vraiment, mais maintenant, c'était différent. Tellement différent, que je ne contrôlais plus rien. Et je détestais cela au plus haut poins.

-Rien.

J'étais trop stupide. Il allait avoir peur de moi! Il allait croire que j'allais le manger...

-Ou...Oui... Je crois que je...
Elle sembla hésiter a finir sa phrase, comme si elle avait peur de m'avouer quelque chose. Finalement elle rouvrit et la bouche et parla d'un vois résigné. Cela devait faire si longtemps qu'elle se cachait qu'elle s'y était habitué.
-Rien.
J'était décu. J'avais enfin trouvé quelqu'un avec qui je me sentai bien, libre, libéré de mon passé. Sauf qu'elle ne semblait pas s'etre libérée. Elle ne pouvait pas me le dire et ce le me fit aussi mal que si des centaines de couteaux m'était rentré dans le dos. Une poigne froides m'enserra le coeur.
-S'il te plait, dis-moi c qu'il y as. Tu peut me parler, je ne te jugerais et ne t'andonnerai pa. J'ai enfin trouvé une personne avec qui je me sens bien, alors je ne suis pas pret de te laisser partir. Pas encore.
En disant cela j me rapprochai d'elle, doucement. Et ,inspiré par le meme instinct que celui qui m'avait forcé lui poussé a remettre une meche de cheveux en place, me penchant encore un peu je l'embrassa. Timidement car je ne savais pas trop comment elle allais réagir. Ace moment la tout se deconnecta dans ma tete et ces quelque seconde me parurent duré une eternite, une délicieuse éternité.

Je suis un monstre.

-S'il te plait, dis-moi c qu'il y as. Tu peut me parler, je ne te jugerais et ne t'andonnerai pa. J'ai enfin trouvé une personne avec qui je me sens bien, alors je ne suis pas pret de te laisser partir. Pas encore.

Cette phrase me fit sourire. J'avais envie de tout lui dire, mais... Je ne pouvais pas m'y résoudre.
Il semblait blessé. Il s'approcha de moi, se pencha pour m'embrasser. Je ne l'empêcha pas, au contraire... Cet instant parut durer longtemps. Très longtemps. Un grande chaleur avait envahit mon corps gelé de nature. J'avais l’impression qu'un trou en moi c'était refermé, mais pourtant, j'avais peur. C'est la que je réalisa. Je n'avais jamais eu vraiment peur jusqu’à présent, et ce sentiment m'était totalement étranger. Je ne me doutais pas que je le rencontrerais dans le plus grand moment de bonheur de ma vie. Je réalisais ce dont j'avais vraiment peur. Ce qui me terrifiait depuis toujours. La seule chose qui pouvait me faire souffrir dans ce monde. J'avais peur d'aimer. Aimer pour perdre. Si je lui disais ce que j'avais réellement, je souffrirais.

Mais je me devais de lui dire. Maintenant que j'avais accepte de l'embrasser, je ne pouvais plus faire marche arrière, et tenter de l'oublier. Cela m'était totalement impossible. Je doute que les vampires puissent pleurer. Sinon, je n'aurais déjà plus d'eau dans mon corps... Pour ne pas trop souffrir, il fallait que m'en éloigne. Même si cela me rendais vraiment malheureuse.

-Je... Je suis un vampire. Un monstre qui boit du sang pour vire... Il est impossible que quelqu'un m'aime. Personne n'aime les monstres! Le soleil m'affaiblit, et je n'ai pas tuer quelqu'un depuis longtemps. Mais j'en ai besoin pour vivre. Pas de le tuer, mais de son sang. Je prend sa vie pour sauver la mienne.

Voilà. Je venais de faire partir en fumé ma seule chance d'amour.

-Je... Je suis un vampire. Un monstre qui boit du sang pour vire... Il est impossible que quelqu'un m'aime. Personne n'aime les monstres! Le soleil m'affaiblit, et je n'ai pas tuer quelqu'un depuis longtemps. Mais j'en ai besoin pour vivre. Pas de le tuer, mais de son sang. Je prend sa vie pour sauver la mienne.

Et alors? Pensait t'elle vraiment que tout cela allait m'enpecher de l'aimer? Loin de la. Pour moi elle n'était pas un monstre, au contraire, elle était a plus belle personne que j'ai jamais vu. Et surtout : je l'aimait.Oui je l'aimait. Mon amour pour elle m'apparut soudain comme une évidence et j'eut envie de lui dire. Je n'avais jamais aimé personne ( a part ma famille bien sur) et c'était une révélation de savoir que je pouvais aimer.
Il fallait que je lui dise, que je lui dise tout : ce que je pensais d'elle, comment je la voyais et surtout ce que je ressentai pour elle. Je releva la tete, la fixant dans les yeux.
- Et alors? J'ai su que tu était un vampire au moments ou j'ai croisé ton regard, seul les tiens ont des yeux d'un aussi beau rouge que toi. Et ne te fais pas de reproche. Tu es ce que tu es et tu n'as pas choisi de l'être. Ce n'est pas ta faute, tu dois vivre avec. Tu n'est pas un monstre ou alors tu est le plus beau le plus gentil et mon monstre préféré de tous. Tu ne dois pas te laisser mourir. Survis. Pour les tiens, pour toi, pour moi, pour qui tu veux mais survis ! Car je t'aime. Je t'aime alors survis!

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- Et alors? J'ai su que tu était un vampire au moments ou j'ai croisé ton regard, seul les tiens ont des yeux d'un aussi beau rouge que toi. Et ne te fais pas de reproche. Tu es ce que tu es et tu n'as pas choisi de l'être. Ce n'est pas ta faute, tu dois vivre avec. Tu n'est pas un monstre ou alors tu est le plus beau le plus gentil et mon monstre préféré de tous. Tu ne dois pas te laisser mourir. Survis. Pour les tiens, pour toi, pour moi, pour qui tu veux mais survis ! Car je t'aime. Je t'aime alors survis!

Je ne savais pas quoi dire. Ni quoi en penser. J'étais totalement perdue. J'avais même envie de m'évanouir une deuxième fois, pour avoir une chance de réfléchir. Je regrettais presque de me sentir mieux. Non pas que je ne l'aimais, pas, au contraire... Mais je n'étais pas sure de pouvoir vraiment aimé. Je voulais lui répondre que je l'aimais aussi, mais les mots n'avaient jamais réussits a sortir de ma bouche, a passer mes lèvres. J'avais trop peur de les dires, ces mots que jamais je n'avais réussis a sortir. J'avais tenté souvent, mais jamais je n'avais réussis. Il fallait qu'ils sortent.

-Je... Je... Je t'aime aussi...

Libérée. Voilà comment je me sentais. Juste libérée. Je ne savais pas que ces mots pouvaient sortir un jour de ma bouche. J'étais vraiment heureuse. Personne ne m'avait vraiment aimé jusqu'a aujourd'hui. Et je le sais, car je vois ce que les gens en faces de moi pensais. Je voyais les mensonges dans les pensées de certains, mais dans les celles d'Akito, je ne voyais que de la sincérité. Mes les paroles qu'il m'avaient dites, même si elles m'avaient touchés et rendue heureuse, de changeaient que très peu la façon dont je me voyais. Comme un monstre tueur. J'acceptais a présent d'être un pion. Un pion de la guerre éternelle entre les hunters et les vampires. J’estimais que c'était déjà ça, et que, si cela me permettais de vivre, ce n'était pas si mal.

Je me releva, a la hauteur d'Akito. Me pencha sur lui, et l'embrasse. Pas timidement, pas sauvagement, pas non plus tendrement, juste simplement... Comme pour fêter mon bonheur et me victoire sur la vie. Un doux sentiment de paix m'envahit, et me détendais jusqu'aux plus profond de moi même. Une douceur que je voulais jamais quitter. Pour rien au monde...

les ^^ dominent le monde !!!

Elle semblai perdue, totalement perdue la pauvre. Je pouvais la comprendre, pourtant elle prononça ces mots. Ces mots qui me secouerent et m'emplirent de tendresse envers elle.
-Je... Je... Je t'aime aussi...
Elle s'y était repris a plusieur fois mais avait fini par réussir à les prononcer. Je la fixa dans les yeux. C'était étrange, ils avait encore changé de couleur. Ils était maintenant d'un rouge éclatant, profond ou j'avais l'impression de me perdre. De me noyer dans un océan, de joie, de tendresse, de vie. Elle semblait plus heureuse, comme libéré d'un poids immense.
Puis lentement elle se redressa, jusqu'a arrivé a ma hauteur et posa ses levre sur les miennes.
Et elle m'embrassa, pas sauvagement, pas timidement, normalement. Comme les baiser que les couples échangent d'habitude. Donc on n'était bien en couple, pour de vrai. A catte pensée une bouffée de chaleur m'envahit. J'aurais voulu que ce moment ne se termine jamais...
¤ FIN ¤

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